La Forêt de Rambouillet

Randonnée du 14 Décembre 2003

C’est à huit heures dix et par une faible lueur d’aurore d’une journée d’hiver pluvieuse, que 16 courageuses et courageux ont entamé le circuit long prévu en forêt de Rambouillet.
Le chemin était très glissant, car une boue liquide engluait le parcours, mais heureusement après cinq minutes de marche la pluie a cessé ce qui a remonté le moral des « troupes ». Et le beau temps est venu avec la clarté du jour, ce qui nous a permis d’observer le passage de 4 magnifiques biches.
Après une heure quarante de marche, et la première boucle longue de neuf kilomètres parcourue, nous sommes arrivés au point de départ du circuit court. Quarante trois randonneuses et randonneurs nous y attendaient.
C’est donc à dix heures que les cinquante neuf participants sont partis, le chemin étant assez large et sec sur ce tronçon, car sablonneux, tout de suite chacun a trouvé son rythme en s’intégrant aux différents groupes qui se sont constitués dans lesquels les conversations allaient également bon train.
Après le passage au Poteau des Quenouilles, le tracé nous emmenait sur le chemin du Parc d’en Bas vers le carrefour de l’Hallali, mais avant de retrouver la route, un virage tout à gauche nous a dirigé sur le chemin dit route des Fontaines où nous avons transpiré après en montant la côte rejoignant la route des Quenouilles que nous avons traversée pour descendre jusqu’au carrefour de la Croix Gilbon.
Nous avons profité des différentes ambiances de la forêt, en effet après avoir traversé une pinède puis de larges futaies, nous arrivions maintenant sur des secteurs de landes dont l’existence est liée à la tempête de 1999.
Après avoir admiré le château du Planet situé le long de la Vesgre et avoir longé la partie clôturée de la propriété, les estomacs commençant sérieusement à réclamer, l’arrêt pique-nique au carrefour des Barillets a permis de faire le plein d’énergie et de reposer les muscles qui commençaient à être un peu fatigués.
En repartant, ce sont les marécages de la route Neuve que nous avons dû franchir avant d’attaquer la dernière pente sérieuse du circuit, sur la route du Chêne.
Et c’est à quinze heures quarante que nous avons terminé la boucle de vingt neuf kilomètres pour le circuit long et de dix neuf kilomètres pour le court.
C’est après avoir applaudi Jean-Louis pour la réussite de son stage et son diplôme d’animateur de randonnée et avec la sensation d’avoir bien rempli sa journée que nous nous sommes donnés rendez-vous pour la rando de janvier 2004 dans la région de Crespières.

Rendez-vous pour la prochaine !